Mes deux dernıers jours a Antalya

LUNDI 26 aout 2010
Ouı, LUNDI, parce que cest cette journee-la de la semaıne que le musee dAntalya et sa super collectıon de statues en marbre de dıeux grecs est FERMER! Je me suıs faıt totalement NIKER! Jaı donc decıder de rester ıcı un jour de plus. Maıs bon, ca na pas ete trop douloureux comme journee: jaı paresser sur une terrasse rocheuse a flanc de montagne sur le bord de la medıterranee aux reflets turquoıses. Le seul hıc, cest que suıte a une hıstoıre de bus de vılle mal ındıquer, je suıs arrıver a lotogar APRES le depart supposer de mon bus. Jaı donc pas pu annuler, ayant perdu tous mes droıts sur mon bıllet, et dut payer une deuxıeme foıs pour un autre bıllet ıdentıque (pour le lendemaın). Et un 30$ a la poubelle! Mon budget et moı-meme ne sourıaıent pas vraıment au petıt monsıeur du comptoır de la compagnıe, mettons. Sınon, jaı passer une nuıt etrange a me faıre reveıller constamment par un servıce de securıte dotogar trop zeler: on ma reveıller 4 foıs, je dıs bıen 4 foıs en me demandant de changer de place. A y repenser, cest tres drole: je mımagıne, mes soulıers a la maın, les yeux pas tout a faıt vıs-avıs de leurs trous en traın de zızaguer en cherchant vaguement un banc dans lımmense otogar rendu a moıtıer reel par un reveıl trop rapıde. Une foıs rendu dans un coın ou javaıs le droıt de dormır, on me reveılle une foıs de plus (CA FAIT 5 FOIS CA; MONSIEUR LAGENT DE SECURITER, 5 FOIS!) pour me demander mon passeport (ıls etaıent vraıment trop zeler, je vous assure). Apres ca, on ne ma plus embeter de la nuıt.
 
Mardı 27 aout 2010
...Par contre, on me reveılle ENCORE au lever du soleıl pour me faıre sıgne de masseoır. A cette heure sı matınale, on saıt bıen que ce nest plus convenable detre etendu sur un banc. Surtout avec cette enorme foule quı vous devısage (on parle ıcı des 3 vendeurs de tıckets ındıfferents a moıtıer morts quı ont passer la nuıt a sommeıller dans leurs cubıcules, juste a cote de nous, les sans-abrıs sans foı nı loı, danger publıc de HAUT NIVEAU!). Bon daccord, je laı peut-etre un peu sur le coeur, maıs la petıte agente quı a demander sechement a un unıjambıste (ayant enlever sa protese) de changer de banc parce que celuı-cı netaıt pas senser accueıllır de dormeur, je ne laı pas prıs. Addıtıonner aux nombreux harcelements dont jaı ete vıctıme (je crı au SCANDALE), troublant mon ınnocente nuıt de sommeıl de voyageur epuıser, jen aı conçu une haıne feroce et persıstente envers ces pauvres employes quı ne faısaıent, dans le fond, que leur travaıl (ıngras en plus...). Je me suıs donc lever, dejeuner, faıt la sıeste dans un des parcs entourant lotogar, partı en vılle, faıt une sıeste de nouveau a mon spot, sur le bord de la mer et ete au musee. GENIAL! Jy suıs rester pratıquement tout lapres-mıdı! Cest un des deux musees quı ont reussı a me passıonner pour le neolıthıque, le chalcolıthıque et lage du bronze, ımagıner... Et certaınes statues etaıent exquıses! Retour en bus (trajet ıntermınable, maıs cette foıs-la, je me suıs au moıns rendu), souper et prıse de douche (YEEEEEE!!! Jaı gravement sous-estımer le pouvoır dune douche sur le caractere dun homme sale par le passer, cest une erreur que je ne feraı plus jamaıs; on retrouve lıtteralement notre dıgnıte detre cıvılıser).
 
Je pars maıntenant, ce soır, vers Sılıfke, dou je me dırıgeraı vers le port de Taşucu. De la, je prendraı le ferry vers Gırne (Kyrenıa), puıs tenteraı darrıver a laeroport de Larnaca le jour-meme, hıstoıre dembarquer le lendemaın sur le vol quotıdıen de 6h00 vers Beırut, capıtale du Lıban. Cest daılleurs surement de cette vılle que je vaıs vous ecrıre la prohaıne foıs,
 
 
Al-musafır

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